Écogestes au bureau : où en sont les salariés français ?

Oublier d’éteindre la lumière en quittant une pièce, imprimer en couleurs et sans l’option recto verso, mettre le papier et le plastique dans la poubelle de déchets ménagers… Ces (mauvaises) habitudes, aussi insignifiantes puissent-elles paraître, sont néfastes pour l’environnement. Il est urgent d’en adopter d’autres, moins consuméristes et plus respectueuses.

La bonne nouvelle, c’est que 97 % des collaborateurs sont prêts à modifier leurs pratiques pour faire plus d’écogestes. La mobilisation est générale ! Une étude de Riposte verte, Fiducial office solutions et G-On, menée au printemps 2019 auprès de 1 060 personnes, met en lumière les écogestes et le bien-être au bureau des salariés. Workplace livre en exclusivité quelques chiffres de ce rapport, qui sera dévoilé officiellement le 14 octobre prochain.

D’un point de vue environnemental, les impacts des écogestes peuvent être directs. C’est le cas lorsque les salariés, environ 80 %, affirment éteindre une pièce vide restée allumée. Ils sont aussi indirects : 10 % des employés transmettent des documents aux collègues via une clé USB plutôt qu'un courriel (celui-ci faisant tourner beaucoup de serveurs).

"Les écogestes complètent la politique formalisée d’une entreprise. Même si cette dernière n’est pas très engagée - par exemple, seuls 5 % des répondants profitent d’une politique « vélo » pour leurs déplacements professionnels -, il est nécessaire de tous s'impliquer, même si cela induit un engagement personnel", indique Cyril Hergott, responsable RSE, environnement et mobilité chez Riposte verte.

Cette étude donne un aperçu des pratiques individuelles en 2019. Certaines sont perfectibles : 9 % des collaborateurs éteignent leur ordinateur le midi, 66 % utilisent des gobelets en plastique… D'autres sont déjà bonnes et donc, à perpétuer.

Pour découvrir les résultats en intégralité, rdv le 14 octobre chez Génie des Lieux . Plus d’infos en cliquant ici !