Tout d’abord, une confirmation. Celle que la restauration est bel et bien devenue cruciale, favorisant la convivialité et renforçant le lien social entre collègues et, in fine, le retour au bureau. Ensuite, une transformation. Celle, nécessaire, des modèles traditionnels vers plus de flexibilité, intégrant des offres diversifiées. La question de la présence d’une cuisine interne se pose également, les entreprises oscillant entre décentralisation de la préparation des repas ou mutualisation. Autre piste d’optimisation des coûts : la gestion des jours de faible fréquentation. Si certains décident de fermer les espaces, d’autres rivalisent de créativité pour régaler les « courageux du vendredi » et limiter le gaspillage.
Enfin, une évolution. Celle des préférences alimentaires des salariés vers plus de diversité et de qualité, avec une attention particulière portée à l’origine des produits. En face, les entreprises se positionnent comme garantes du « bien manger », cherchant à concilier qualité, nutrition, coût et diversité, tout en respectant les choix individuels des salariés. Un équilibre parfois difficile à trouver dans le contexte inflationniste que l’on connait. Et un secteur qui pourrait encore alors connaitre quelques turbulences… On ne manquera pas de reprendre le pouls d’ici quelques temps !
Et si le cycle Restauration s’arrête là, Studio W remet le couvert dès le mois d’avril avec une nouvelle thématique Aménagement autour d’une question : la flexibilité favorise-t-elle vraiment le travail ? Un nouveau temps fort qui promet d’être tout aussi passionnant !