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Champion des boissons sirotées en entreprise, le café est passé en quelques années de l’ombre à la lumière au sein des espaces de travail. Reconnu pour fédérer les collaborateurs, doper la productivité et favoriser des liens sociaux, ce métronome rythme tant la vie des salariés que les tendances en matière de consommation : si le nectar doit être bon, il doit aussi être responsable, reflet de l’engagement des organisations en matière de développement durable.

Onze minutes. C’est le temps moyen que consacrent les Français, chaque jour, à la pause-café au bureau. Depuis des générations, ce rendez-vous matinal, du déjeuner et de fringale, s’invite au carrefour de tous les acteurs de l’entreprise, collègues, visiteurs, tous services, activités et hiérarchies confondus. Fidèle à ses débuts, cette parenthèse est le témoin silencieux des anecdotes croustillantes de la veille, des exploits, questionnements professionnels, et des confidences sans filtre inhérentes à la vie d’une organisation. Si au cours des années son écrin a profité de belles évolutions, d’une situation valorisée, voire centrale, c’est pour mieux affirmer le caractère essentiel de cette institution, alliée de performance et de bien-être au travail. Selon une récente étude Nespresso/Ifop*, les collaborateurs sont aujourd’hui 92 % à considérer ce moment primordial, 87 % à penser qu’un bon café véhicule une image positive de l’entreprise, ou encore 78 % à estimer que l’investissement dans un bon café est un signe de reconnaissance de leur valeur. « Plus qu’une simple boisson, la pause-café est un vecteur de lien social, qui permet aux employés de se réunir, d’échanger, de tisser des liens, observe Marc Dehe, responsable de département Grands Comptes Office chez Nespresso Professionnel. Une vocation d’autant plus importante à l’heure où le travail se réinvente, que les ressources deviennent plus mobiles, nomades, adeptes du télétravail…, justifiant pleinement la place de l’environnement café au coeur même de l’espace de travail.

Décapsuler les relations sociales

À sa mission d’entremetteur social s’ajoute un atout managérial, un « management de proximité » plébiscité par une majorité de salariés déclarant la pause-café efficace pour régler les conflits, prendre des décisions rapides et entretenir l’esprit d’équipe. « Un bon café dans un lieu chaleureux, informel et propice à l’interaction vaut parfois une longue réunion, estime Marc Dehe, pour qui l’espace café encourage aussi les bonnes pratiques, à travers une expérience personnalisée, qui permet aux collaborateurs, et notamment aux nouvelles générations, de se sentir bien et de mieux adhérer à l’entreprise. L’espace café est un critère de rétention des talents déterminant. Inspiré des codes hôteliers et la déco maison, entre collaboratif et détente, le corner est une bulle conçue pour susciter l’évasion en marge du flexoffice et de l’open-space ». Fini le temps où le café trouvait sa place dans un recoin d’étage, désormais, le corner s’affiche, dévoilant les valeurs, la signature et l’engagement de l’entreprise envers ses salariés. Un engagement qui dépasse aujourd’hui la seule fonction sociale et sociétale, à l’heure où le produit, lui aussi, revêt une importance égale voire supérieure à l’endroit où il est servi.

Une bonne dose d’engagement

RSE Car un beau design ne suffit pas. Alors que progresse la conscience environnementale dans les arbitrages de consommation, répondre aux enjeux métier passe également par l’offre d’un café durable, sur l’ensemble de son cycle de vie. « Proposer un café durable permet d’être en accord avec les valeurs véhiculées par l’entreprise, avec les convictions de ses collaborateurs, mais aussi avec les obligations de l’entreprise en faveur du développement durable », souligne Marc Dehe. Dans un contexte postcrise sanitaire, jamais ces préoccupations n’auront été si prégnantes dans le quotidien de chacun, exhortant les acteurs du marché à revoir leur copie ou affirmer davantage leur positionnement vers un produit plus « vert ». Selon une enquête OpinionWay/ Max Havelaar réalisée en mai dernier, 80 % des Français émettent ainsi le souhait de consommer plus responsable. Pour le responsable de Nespresso, cet engagement a donc plus que jamais sa place dans la stratégie RSE des organisations, mais aussi à la table des acteurs du café, un produit dont la production, l’utilisation et la valorisation après usage exige un processus spécifique et à grande échelle. « Le sourcing des fournisseurs sera scruté à la loupe, à l’instar de leur impact environnemental, leur empreinte carbone, et des moyens mis en place pour gérer la fin de vie des produits ». Un enjeu d’autant plus fort au regard du succès du nectar dans l’Hexagone : star incontestée des boissons chaudes au bureau, il est consommé dans sa majorité à partir de capsules et dosettes (67 %), talonnées par le café moulu, loin devant le café soluble et le café en grains**. « La communication sur les points de consommation est nécessaire pour décrypter le produit et son impact environnemental et social en toute transparence, conclut Marc Dehe. À nous d’oeuvrer en ce sens, afin de permettre aux entreprises d’inscrire leur choix de fournisseur café au coeur de leur propre démarche RSE ».

Un café de qualité, une tasse zéro carbone

Depuis 2015, Nespresso accompagne les caféiculteurs pour planter des arbres directement dans leurs champs de cafiers, en Colombie, au Guatemala, en Éthiopie et en Ouganda. Plus de 500 000 arbres sont ainsi plantés chaque année, permettant de compenser entièrement l’impact carbone de chaque tasse Nespresso consommée en France. Une action menée dans le cadre plus global de notre Programme AAA pour une Qualité Durable, avec le soutien de l’ONG Rainforest Alliance et de l’entreprise sociale PUR Projet, opérateur de projets agroforestiers. Nespresso travaille aujourd’hui avec plus de 110 000 caféiculteurs et plus de 400 agronomes dans 14 pays, et achète son café 30 à 40 % plus cher que le prix du marché.

Une deuxième vie pour capsules usagées

Nespresso propose à ses entreprises clientes un service dédié au recyclage des capsules en aluminium usagées, un matériau recyclable à l’infini. Pour cela, Nespresso France s’est associé à La Poste et au groupe Paprec pour proposer aux entreprises consommant plus de 500 capsules par mois une collecte gratuite de leurs capsules usagées. Après inscription en ligne de l’entreprise, un dispositif de collecte sur mesure est mis en place, et les capsules sont ensuite acheminées vers un centre qui sépare l'aluminium du marc de café. Le café est valorisé en compost agricole, l’aluminium sert à fabriquer de nouveaux objets comme des canettes ou vélos par exemple. Rendez-vous sur www.nespresso.com/agit.