Réputée exigeante, la plus jeune population active n’en est pas moins engagée dans ses attentes de café de qualité, éthique et durable. En quête de sens mais aussi de service et de convivialité, elle attend de l’entreprise une véritable démarche dans le cadre de la pause-café, un vecteur essentiel de RSE et qualité de vie au travail.

Née entre 1995 et 2010, la génération Z n’a pas 30 ans mais représente 26 % des actifs en France*. Si ces « digital natives », abreuvés de données dès leur plus jeune âge, savent ce qu’ils veulent, ils le veulent instantanément : c’est dire l’importance, pour les entreprises, d’en comprendre les exigences et les valeurs, mais aussi l’enjeu d’y répondre avec le plus d’informations et de transparence possible. Une démarche que Cafés Richard connaît bien. En effet, l’offre Cafés Richard incarne ces attentes par des solutions cafés et machines adaptées aux exigences de la pause-café au bureau. Attentive aux attentes de chacun, et notamment des jeunes collaborateurs, la marque s’attache à répondre à leur quête de sens, tant sous l’angle professionnel qu’écologique, dans un contexte où 65 % d’entre eux se déclarent peu enclins à rejoindre une entreprise insuffisamment connectée aux enjeux environnementaux.

La RSE, du grain à la tasse

C’est donc un vrai défi RSE qui se pose pour les ressources humaines souhaitant développer le sentiment d’appartenance et le bien-être des collaborateurs, tout en prenant soin de la planète : satisfaire à la fois cette soif d’information rapide et les moments de convivialité, diminués par le télétravail. Chez la génération Z, l’appétit du digital n’occulte pas l’aspect humain, bien au contraire : au bureau, le café est pour elle synonyme d’échanges, de détente et de liens tissés entre collègues.

photocafErichard.png

Essentielle à la cohésion, la pause-café se fait ainsi le liant des équipes et un levier d’engagement de l’entreprise, qui s’adresse par ailleurs à une population acculturée ! Quinze ans : c’est l’âge moyen du premier café chez les jeunes nés dans les années 2000, de facto plus matures que leurs aînés et soucieux de qualité. Un défi relevé pour Cafés Richard, à travers une sélection de caféiculteurs et de coopératives rigoureuses, et une démarche de traçabilité à toutes les étapes de la chaîne. Brésil, Colombie, Mexique, Costa Rica, Ethiopie, Inde, Papouasie…, les quatre coins du monde colorent l’univers du premier torréfacteur français labellisé « Engagé RSE » et signataire du Pacte mondial des Nations unies (17 ODD). Durable mais aussi inclusive, l’offre Cafés Richard propose également Le Café Solidaire, une gamme de trois assemblages de cafés en grains et trois références de capsules Pures Origines créée par son partenaire et entreprise à mission Lobodis, qui participe à l’inclusion de 60 personnes en situation de handicap depuis plus de 30 ans.

Cultiver une boucle vertueuse

Prégnantes chez Cafés Richard, la dimension sociale et les initiatives éco-responsables (voir encadré) sont au diapason des attentes des « consomm’acteurs », désireux d’accéder à cette traçabilité sur le lieu même de leur consommation. Le contenant n’est pas oublié, occupant une large part de la R&D : la marque, qui souhaite à terme étoffer la recyclabilité de ses emballages, a mis l’accent sur le reconditionnement des machines à café et la sensibilisation des collaborateurs, in situ, à des pratiques vertueuses telles que le compostage de marc de café.

Si, au fil des années, Cafés Richard a su capter les évolutions du marché, la voilà parée pour la génération Z, à renfort de ses 42 % de références alimentaires labellisées (issu de l’agriculture biologique et/ou du commerce équitable). Cap sur la prochaine génération, l’Alpha, qui ne tarira pas non plus d’exigence en matière de savoir-faire et d’exemplarité.

Le café, en faveur de la biodiversité

En exclusivité en France, Cafés Richard propose un café de spécialité, pure origine du Sumatra, qui soutient le Orang Utan Coffee Program. Intégrant économie verte, protection de la nature et responsabilité sociétale, le programme améliore les moyens d’existence des petits producteurs et préserve l’habitat naturel des orangs-outans en luttant contre la déforestation. Cafés Richard est également partenaire de Windcoop, une coopérative maritime militante qui permet aux sociétaires de financer le cargo à voile afin de décarboner le transport de marchandises grâce à l’énergie du vent.

*selon une étude d’Oxford Economics pour Snapchat