
Et si la valeur des bureaux était avant tout servicielle ? Non plus réduite à ses mètres carrés ou à sa localisation, mais mesurée à l’aune des usages qu’il rend possibles, de l’expérience qu’il propose, et de sa capacité à s’adapter à des besoins en constante évolution.
Le bureau est désormais au croisement d’enjeux multiples, sociétaux (inclusion, bien-être), organisationnels (flexibilité, télétravail), économiques (optimisation, mutualisation), énergétiques, environnementaux (sobriété, résilience), mais aussi urbanistiques.
Face à cette complexité, une multitude de services ont émergé ces dernières années : espaces partagés, mobilité douce, restauration flexible, hospitality management… Mais cette logique qui consistant à empiler de nouvelles couches de services trouve aujourd’hui ses limites. Comment aller plus loin ? Et si l’avenir consistait à ne plus penser les bureaux comme une surface associée à des fonctionnalités, mais bien comme un service en soi ?
Nos experts :
Marielle Seegmuller, directrice des opérations de Covivio | Brigitte Feist, Head of Corporate Real Estate and Residential Services, BNP Paribas Cardif | Frédéric Goupil de Bouillé, Président de l’ADI, directeur exécutif de SNCF Immobilier | Benoît Monroche, CCI Ile-de-France, Président du groupe de travail sur le « Bâtiment serviciel ».
Studio W, la cellule d'information 360° de Workplace Magazine édité sous l'égide de IDET

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