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Où fait-il bon vivre dans le monde pour concilier vie professionnelle et vie personnelle de manière la plus harmonieuse ? Éléments de réponse avec cette étude menée par Kisi, une entreprise de technologie d’accès mobile.

Pour concilier vie personnelle et vie professionnelle, mieux vaut aller vivre à Helsinki, Munich ou Oslo. C’est une étude menée par l’entreprise de technologie d’accès mobile Kisi qui le dit. Quarante villes du monde ont été passées au peigne fin dans le but de déterminer lesquelles favorisaient un équilibre harmonieux entre le travail et la vie privée. « Kisi s'est efforcé de découvrir quelles métropoles convoitées dans le monde entier répondent aux exigences de leurs habitants en matière de style de vie pour faire de leur ville un endroit plus attrayant où travailler et vivre. » L’enquête a tenté d’aller plus loin que des critères génériques comme le coût de la vie, l’animation nocturnes ou les attractions touristiques. Elle s’est focalisée sur l’intensité du travail, le bien-être social et la qualité de vie.

 

Les principaux résultats :

  1. Helsinki, Munich et Oslo se retrouvent en haut du classement contre Tokyo, Singapour et Washington DC qui eux se retrouvent tout en bas de cet indice.
  1. En moyenne, un salarié à Barcelone (30.5 jours) et à Paris (30 jours) utilisent au maximum le nombre de jours de congés qui leurs sont offerts chaque année. À l’opposé se trouvent les salariés de San Francisco, Washington et Los Angeles qui eux utilisent respectivement 9,7, 9,4 et 9,1 jours de leurs congés.
  1. La ville de Paris se classe #9 sur 40 dans cet indice.

 

L’étude établit certes un palmarès mais elle ne prétend pas donner de leçons. « Cet indice n'est pas conçu pour être un indice de qualité de vie, ni pour mettre en évidence les meilleures villes où travailler. Il vise plutôt à servir de ligne directrice aux villes pour évaluer leur capacité à soutenir l'épanouissement de leurs résidents en améliorant les aspects de leurs vies qui contribuent à réduire le stress et l'intensité liés au travail. Cette étude a été menée dans l'espoir qu'elle sensibilisera aux multiples façons dont les villes et les pays peuvent contribuer au bonheur et au bien-être général de leur population active », explique l'entreprise Kisi.