Des quartiers entièrement désertés à la nuit tombée, des bureaux vides deux jours par semaine : aujourd’hui, une partie de la ville s’éteint avec les ordinateurs. Pour contrecarrer ce phénomène, des immeubles de plus en plus poreux avec l’extérieur et aux services mutualisés sortent de terre.

    Hausse des coûts de l’immobilier tertiaire, flex office… autant de défis qui obligent les entreprises à revoir la taille de leurs bureaux. Mais malgré la réduction des surfaces, une fois le travail terminé, les affaires rangées et les salariés de retour chez eux, ces espaces restent bien vides. En faisant quelques calculs, un immeuble ...