
À l’heure où le mobilier fait la part belle à l’écoconception, la jungle des labels environnementaux risque de perdre les entreprises qui souhaitent investir. On fait le point sur le sujet avec Franck Taverriti, fondateur et dirigeant du fabricant français Makiba.
Selon vous, quel niveau de maturité les entreprises ont-elles aujourd’hui sur le sujet de l’écoconception ? De manière générale, les amalgames persistent sur toutes les thématiques liées à l’écoconception, l’occasion et la seconde main. Sur notre marché spécifique du bureau réglable en hauteur il y a eu une ...
Cet article est réservé aux
abonnés
Continuez votre lecture en créant votre compte et profitez de 5 articles gratuits
Pour lire tous les articles en illimité, abonnez-vous