Avec l’essor des modes de travail hybride, la baisse de fréquentation des locaux professionnels amène les dirigeants d’entreprises à réévaluer leurs besoins. Les premières concernées sont les entreprises franciliennes, de grande taille, surtout composées de cols blancs et historiquement très consommatrices de bureaux. Si cette catégorie d’utilisateurs n’est pas forcément majoritaire dans le tissu d’entreprises français, leur poids et leur influence sur le marché sont indéniables. Or, d’autres paramètres de cette nouvelle équation immobilière gagnent aujourd’hui du terrain : érosion des gains de productivité, ralentissement économique, RSE ou encore difficultés de recrutement. En réalité, l’enquête montre que l’immobilier de bureaux est bel et bien entré en phase de décroissance.