Les résultats font tout d’abord apparaître une certaine implication des entreprises, avec 60 % des répondants déclarant définir des objectifs de réduction à court terme et 53 % indiquant une trajectoire de sobriété à moyen terme. En revanche, des efforts restent à faire quant à la nomination d’un référent énergie / sobriété : seuls 35 % des répondants déclarent en avoir un dans leur entreprise, dont 40 % depuis moins de douze mois. Concernant les actions mises en place, 73 % disent réguler l’usage des équipements (heures de mise en route/arrêt…), 50 % prévoient l’installation d’équipements de gestion (thermostat, etc.) et seulement 35 % anticipent des travaux de rénovation afin de mieux isoler notamment.